Mes articles



Extraits d'un ouvrage en gestation .

Les jeudis après - midi, ma sœur et moi nous fréquentions le patronage catholique, du quartier de la rue Elzévir dans le 4ème à Paris.
Nous n'étions pas baptisée et n'avions reçues aucune éducation religieuse, ce qui déplaisait aux bonnes sœurs du patronage, le quel faisait aussi office de dispensaire. ( Resituons nous dans les années 55/56) Les bonnes sœurs nous prodiguaient les soins nécessaires et autres vaccinations... A noël le bon dieu n'était pas de notre côté, Les sœurs organisaient une fête pour tous les enfants, avec un spectacle, un quatre heure et des cadeaux... Nous avions droit au spectacle dans la grande salle toute illuminée, c'était magique pour nous deux. On nous offrait des biscuits et du sirop à l'eau, quant aux cadeaux, il n’y en avait pas pour nous ! - Pas de baptême ! Pas de cadeaux !- Ça, ça vous donne une petite idée de l'ambiance... dans le genre humiliation pour deux gosses de 6 et 8 ans...Croyez-moi, ce ne fut pas les seules...

Bonjour à tous

Cet article est toujours d’actualité concernant les envoûtements, les envoûtés, les dés- envoûteurs ... Il y a des personnes qui ce spécialises dans ce type de prestations (travaux occultes, désenvoûtement et autres protections en tous genres...) qui ne font que ça. Personnellement, ils ne font pas partis de mes connaissances ! Il faut seulement savoir à qui on s’adresse pour faire effectuer des travaux occultes ! Vous dire si cela fonctionne, j’en sais rien ! J’inviterais bien les lecteurs à venir nous en parler et à déposer leurs témoignages, pourquoi pas ! Je peux comprendre que des personnes n’ayant plus confiance en rien, souhaitent ce servir de la magie noire ou blanche, à un moment donné. Ce qui est étonnant c’est que ceux là espèrent plus dans l’extraordinaire, la magie, le surréalisme, le miracle, bref l’incroyable ! Ne croyez pas aux mirages !... Sans pour cela faire l’apogée des arts divinatoires, qui vous apportent un éclairage sur le chemin de la vie. C’est quand même bien vous qui le parcourez ce chemin et personne d’autre ...Alors... ..
Cordialement votre,
ANY KLER

Amour platonique et voyance ( parution sur GOOGLE )

En voyance le domaine amoureux est souvent évoqué et celui de l’amour platonique déroute plus d’un praticien. Souvent lors de mes tirages je "vois" une histoire d’amour puissante, qui est installée depuis un certain temps. Sans indication du consultant(e), si ce n’était qu’un amour platonique ? Un exemple : Un homme et une femme se croisent tous les jours, à la même heure, dans la même rue. Ils noient leurs regards, se mangent des yeux en ce croissant. Le premier mot est sur le bout de la langue de la femme. Une timidité maladive l’empêche tout simplement de lui dire bonjour ! Lorsqu’elle rentre chez elle furieuse de ne pas avoir osé, elle se redonne du courage pour le lendemain... Elle est tombée complètement amoureuse de cet homme en le voyant jour après jour. Il est devenu la raison de son existence, celui pour qui elle se fait jolie le matin, pour seulement l’entrevoir quelques courts instants. Elle est très perturbée, elle souhaite converser avec lui, mais ! ... Comment l’aborder sans passer pour... ? Et puis elle pourrait aussi être extrêmement déçue, le son de sa voix pourrait ne pas lui plaire... Il pourrait lui faire des propositions " malhonnêtes..." et puis le trop connaître lui démontrerait une vérité qu’elle ne serait pas certaine de vouloir accepter. En voyance, ce genre de manifestation est parfois déroutant, les sentiments se présentent très marqués dans le jeu et pourtant, il semble manquer quelque chose qui n’est pas toujours essentiel pour le consultant. Ce dernier s’est installé dans une forme de logique de confort en faisant abstraction d’un échange intime et de relations physiques. Je me suis permis quelques réflexions à propos de ce vaste sujet. J’y ai vu de nombreuses raisons réelles et un peu moins terriennes aussi que voici pêle-mêle : ( liste non exhaustive ) La crainte, le piège, le confort pour les timides, le complexe, la pathologie psychique, l’amour cérébral pour ceux qui ne partagent que leurs idées... Chaque cas est lié à l’imaginaire qui remplace les actes réels : Je te fais vivre devant moi, quand je veux, où je veux et comme je veux ; tu ne me décevras jamais..." C’est toi mon IDÉAL... Votre sentiment sur ce sujet serait le bienvenu. AK

Bonjour Rosae.

Je suis sensible à votre message, et je me demandais si un jour j’allais avoir une réaction à cet article.... Bien sur que tout ce qui touche les sentiments en voyance demande une attention particulière et beaucoup de prudence dans les prédictions, nous savons bien que le 100% n’existe pas. Quant à cet article, il voulait parler d’expériences vécues auprès de consultants. Pour résumer, dans leur jeu il était question d’une histoire sentimentale installée, (ce qui n’était pas le cas, puisque rien n’était réel.) Les consultants se focalisaient sur un être qui, lui, n’en avait pas connaissance. La voyante que je suis l’a découvert par le biais d’une vision lors d’une consultation. Juste à la fin -la personne m’a dit qu’il y avait plusieurs années que ça durait dans son esprit -une grande force amoureuse qui s’avérait platonique à souhait (les exemples mentionnés dans l’article sont ceux qui m’ont été donnés par la dites consultante) comme quoi cela peut être trompeur aussi en voyance. Pour terminer, je dirais que les quelques cas rencontrés, vous surprendrez de réalisme. Je crois qu’il ne s’agit pas du tout de ce que vous évoquez là.

Bien cordialement ANY KLER

Dans cet article il est question uniquement de sentiments platoniques, reconnus comme tels par les consultants en question et non pas comme une fausse vision. A la limite les personnes dont je parle, ne souhaitent pas forcément que cette situation change et le vivent bien. La concrétisation leur compliquerais l’existence, les mettraient en face d’une réalité qu’ils ne sont pas près à envisager. Ces cas là sont rares. Je souhaitais y faire référence par ce message, tellement cela était étrange dans les consultations.

Bien cordialement ANY KLER


LA MORT BRUTALE D’UN JEUNE HOMME

Devant certains évènements la force nous manque, il n’y a pas de honte à être malheureux, quand la fatalité nous frappe brutalement. La force c’est déjà de pouvoir évoquer notre malheur, celui qui nous bloque le ventre et le cœur ! Si non on fait comment ? On ose en parler, on ose aborder le sujet qui nous meurtri en l’occurrence : La mort brutale d’un jeune homme, il y a ses parents, ses amis, cet abandon soudain, qui dépasse l’entendement…
La vie était pleine de lui sans faux semblant. La tendresse habitait son âme, il la cachait par crainte de paraître faible. Il avait la volonté et la force du soldat d’élite, tant qu’à faire… pas faire les choses à moitié. Éternel amoureux, amoureux devant l’éternel. Tu nous a touché jusqu’au vide, jusqu’à la sécheresse de nos orbites. Je ne t’imagine pas sans vie, je ne t’image pas sans sourire et sans passion, le vide est rempli de tes images et de tes délires…
Pour moi la force c’est le partage de la douleur et du chagrin quelque soit nos croyances. La force c’est aussi l’accompagnement, sans ce cacher derrière sa douleur, juste par pudeur des sentiments. Après on doit s’arranger avec soit même, pour que le deuil nous apporte d’autres réponses, des réponses plus spirituelles.
Ils sont nombreux à prendre cette espèce de fusée infernale qui laisse derrière elle la poussière fine de la matière …C’est le néant, qui nous laisse là, sans toi, sans ton apparence, sans ton sourire.
Après la mort l’esprit voyage, il est curieux, il navigue à la vitesse du son, il traverse des univers, des dimensions sublimes, auxquelles ton âme doit s’habituer peut à peut .
Ce voyage serait considéré comme une expérience d’exception, mais allez dire ça à de pauvres parents qui sont dans la désespérance ???
Il n’y a pas de place pour l’irrationnel ou la poésie, il n’y a qu’une place vide. L’actualité est d’un réalisme désarment et désastreux. Il faut vite vieillir pour que la plaie ce referme en laissant son immense cicatrice.
Vite ! Vite ! Fais vite le temps s’il te plait ! Je m’en fout des rides, je m’en fout de moi ! Que la force qui nous guide …Fasse en sorte que l’on ce relève chaque matin un peut moins malheureux …

Bonjour Danica,

Faisant suite à l'article ...." voyage astral ou décorporation"

Merci, d’avoir cité mon article. A chaque relecture de ce texte j’ai les mêmes sensations : Être rassurée sur la suite... Après cet évènement je me sentais bien, aucune fatigue, que du bien être, il m’a fallu le temps de la réflexion et de la compréhension. Depuis je sais.. Je me documente et fais des recherches pour aller plus loin, sur d’autres sujets comme la TCI, la télépathie, le magnétisme ... Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à mes écris . Je sais qu’il y a de nombreuses de personnes qui vivent des expériences extraordinaires et lorsque nous pouvons en parler ensemble c’est toujours constructif. Ce qu’il faut retenir c’est que l’expérience de décorporation de chacun peut être différente dans les détails mais toujours avec la même finalité et beaucoup de point concordants Votre expérience comme la mienne n’est pas forcement un cas de référence, tout comme notre vie terrestre n’est pas comparable avec d’autres. Voilà pourquoi les exemples sont extrêmement divers, ce qui peut permettre au doute de s’installer pour certains. Si je peux me permettre, je vous inviterez à prendre connaissance des ouvrages de Mme Jeanne Guesné : Le grand passage : (au courrier du livre 1979). La conscience d’être :(Arista - L’espace bleu. 1983).Le Septième Sens ou le corps spirituel : (Albin Michel. 1991). Dans le livre de Hélène Renard : L’après vie. (Pocket) Vous trouverez un passage ou Jeanne, évoque une sortie du corps, qui dans la description et le ressenti évoquent ce que j’ai vécu.Bien à vous ANY KLER

L’ÉLOGE A LA VIEILLESSE

Je la regarde dormir, la bouche vide, grande ouverte, je crains qu’un quelconque insecte ne vienne lui chatouiller la glotte ou l'étouffer. C’est toujours ainsi quand elle dort l’aïeule. M’approchant de son lit, je guette son souffle avec dans l’idée qu'il pourrait ce rompre et lui ôter le peu de vie qui lui reste. Je me souviens des inquiétudes que j'éprouvais lorsque je surveillais le sommeil de mes enfants nourrissons, de peur qu'ils oublient de respirer.

Est - ce que ce serait doux, brutal ou douloureux pour elle ? Si tout s'arrêtait là en dormant ? Je n'en sais rien!

J'ai l'habitude de l'observer en lui disant bonjour le matin, je vois la ride nouvelle, la cerne foncer sous son regard bleu, la fatigue du temps prendre sa place. Faut surtout pas poser la question qui tue " Ça va bien ? " donc je ne l'a pose plus... j'évite les mauvaises réponses et les plaintes. Chaque jour est un jour de gagné sur l'âge, pour ne pas dire sur la vieillesse, ou un jour de perdu sur le meilleur à venir. Que de compromis avec sa santé, de souffrances morales pour obtenir le passeport final, dans ces conditions-là ... pour d'autres c'est plus rapide, si tout peut s'expliquer. (J’y reviendrais dans un autre chapitre.)

L'attention que je lui porte à ces moments-là, ressemble à de la curiosité physiologique. Au bout du compte la question que l'on se pose tous avant d'y être confronté ; ça fait quoi de vieillir, dans son corps, dans sa tête ? Ça donne peut être envie d'accepter son sort ! En ce qui l'a concerné, elle ce plein sans prendre vraiment conscience de la gravité de son état, surtout lors des crises cardiaques... Ce qui compte, comme la plus part des personnes dans son cas c'est de rester coute que coute dans sa maison, alors on y reste... On vit les ambiances et les signes du déclin : Les pantoufles qui trainent de plus en plus, les mots que je dois répéter plus fort, une fois pour l'oreille, un coup pour la mémoire et une dernière fois pour la colère ! Je passe rapidement sur les détails du genre... la nourriture mixée, les radiateurs à fond, en été, les caprices d'enfants et la peur de tout...

Dans mes moments de calme, je lui souhaite de ne plus se réveiller , de revenir à la légèreté de son être de son corps - pas gros, mais si lourd à porter - et de retourner dans l'au- delà ... Cela ne veut pas dire, lui souhaiter la " mort " ( quel vilain mot! ) Mais juste la délivrance, le mieux-être, le ailleurs... j’éprouve une certaine tendresse pour elle par moments, à d'autres je manifeste mon désaccord lorsque qu'elle exerce sur moi son droit d'ainées, je n'accepte aucune remontrance. Il ne fait pas bon de vivre avec un être vieux ! Ça me donne l'impression de vieillir prématurément, de ressentir toutes ses douleurs en avant-première d'une réduction de mes capacités. Vivre avec un vieux, ça dépend quel vieux, évidement ! Y en a parfois des supers, qui ont eux aussi leurs maux et conservent le sens de l'humour et du bon esprit. Là, n’y a rien de tout ça ! Par ce " qu’elle " ce sent punie par ce mal être, elle attend de la reconnaissance de son état et de la compassion. Je n’ai pas suffisamment de grandeur d’âme, je ne veux pas entrer dans ce sentiment de pitié, même si j'en ressens, je n'en fais pas allusion. Rien n'est simple avec une personne âgée et psychologiquement fragile on doit composer sans trop aller dans l'empathie, parfois je l'a soupçonné d'être jalouse ou envieuse de mon état de bru face à elle. Mon jeune âge aussi (62 ans !!! faut pas pousser non plus !!! mais ... je ne suis pas de la première jeunesse, c’est ce qui lui fait dire banalement « Vous verrez quand vous aurez mon âge" Honnêtement, je ne souhaite ne pas y arriver !

Je me sens partir dans une déprime qui ne m'appartiens pas... il faut que je me sauve, que je me protège à tout prix de cette dénaturation prématurée ! C'est comme un miroir qui me transmet ma future image. " Elle", elle ne se regarde plus dans la glace, elle oublie de ce coiffer de ce laver… elle oublie tout, sauf une seule chose qui a pris une importance capitale et qui l’a rendue complètement dépendante, c’est le scrabble, et les desserts. Elle va pas tout de même s'excuser de vieillir, elle n'a rien demandé, elle me le fait comprendre au quotidien... L’énigme reste entière et les questions aussi. J'ai trouvé les réponses, je ne vous les ferais pas simpliste . Évidemment pour trouver les réponses, il faut d'abord ce poser les bonnes questions : d’où venons-nous ? Qui sommes-nous et pourquoi sommes-nous ici ? Bien sûr, où allons-nous ? Il a fallu chercher, ce documenter, faire les bonnes rencontres, les bons choix de lectures ...

...Je cherche une logique, une explication rationnelle, afin de comprendre la raison de la déchéance et la dégradation du corps physique, de l'intelligence humaine, bref ... la matière. De vieillir et de se détériorer, ne nous faciliterait t – il pas l’acceptation de la mort physique ? " L’après vie " ne serait- elle pas meilleure après autant de souffrances terrestres ? Est-ce que le fait de devenir vieux, laid, méchant ou moins bon, peut nous permettre de ne pas être regretté ? Ces états ne sont- ils pas programmés pour éviter le chagrin des nôtres ? Et nous permettre de souhaiter quitter la vie terrestre par soulagement ou par délivrance ? Afin de nous détacher plus facilement !

Pour ma part je crois qu'il en est ainsi dans les cas de mort naturelle dû au vieillissement. Partir abimé et malade, rester tard dans la vie, vivre longtemps n’est pas forcément une récompense ! Pourquoi certains vieillissent et d'autres meurt prématurément à tous âges ? Pour cela il y a d'autres explications possibles... Cette façon de voir les choses représente une vision du côté du monde des vivants dans le sens de la matière, de l'apparence, sans pour cela y voire une interprétation spirituelle.

Concernant les décès prématurés, d’enfants ou de personnes jeunes, des morts violentes ou par maladies mais des départs plus injuste que ceux des personnes de âges...

J’ai trouvé mon mode d’explication des hypothèses qui sans nous consoler nous donneraient des raisons qui combleraient le manque ou nous permettrait l’acceptation de l’inacceptable, avec du temps et une aide. Un jour j’ai entendu un homme dire « En acceptant de mettre un enfant au monde, j’avais conscience qu’il ne s’agissait pas d’un être immortel ! Je savais que nous serions séparés tôt ou tard ! »

Ce que moi je sais, n'engage que moi. Nous sommes des intermittents de la vie (un peu comme les intermittents du spectacle) avec 2 contrats à honorer, sur 2 dimensions ... le visible et l'invisible ceci indéfiniment, comme les saisons et tous les éléments de la nature (j’y reviendrais). Rien ne meurt tout recommence...

Sans vouloir convaincre quiconque, ceci correspond à ma philosophie, à mes croyances, à mes expériences, à mon vécu et à mes maîtres auxquels je réserverais un chapitre plus loin.

LE JOURNAL DE DEMAIN outil de référence (exclusivité officiel de la voyance)

Dans le cadre du JOURNAL DE DEMAIN, Que représente le journalisme d’intuition ?

Pour ma part je dois dire que j’y suis arrivée encouragée par Mr J. Suila qui connait un peu l’histoire de ma vie ésotérique. Alors j’ai commencé à choisir des sujets d’actualité diverse. Faits divers, politique, artistique etc…

Je n’ai jamais été fan des news… lire le journal … m’informer… tout cela n’avait pas une importance capital pour moi. A l’époque mes préférences allaient plutôt vers une séance en tête à tête avec une consultante ou là, je m’investissais, je creusais, j’affinais … pour aller le plus loin possible.

C’est vrai que je ne me suis pas considérée de suite comme ayant des possibilités d' aborder l’actualité en vue d'obtenir un éclairage précis sur des événements marquants qui pourraient intéresser le grand public en général ! Certes il s’agit d’un risque que certains craignent de prendre de peur d’y perdre leur crédibilité. Mais n’est – ce pas aussi le rôle d’un extra lucide de ce remettre en question, j’ai souvent su le faire, pas par défiance mais par méfiance. Je compare ce genre d’exercice à l’entrainement physique d’un sportif, ce qui ne représente en rien un critère de qualité. J’ai une anecdote à ce sujet … Une voyante de très haut niveau qui venait de rentrer de vacances me dit « je n’ai rien fais pendant mon séjour, je me suis reposé, ça m’a fait un bien fou ! J’ai tellement décompressé que je ne sais plus si je suis toujours voyante ? » Cela nous fîmes rire toutes deux… Oui nous sommes en droit, nous praticiens, de nous poser ce genre de questions aberrantes. Je trouve que la réflexion est saine, si je peux me permettre ...!

Revenons-en au fameux JOURNAL DE DEMAIN, certains si risque, même des inconnus, c’est un outil d’exception dont l’Officiel de la voyance est le détenteur exclusif.

Il est des sujets hyper délicats… sur lesquels il est difficile d’intervenir, je dirais même que si c’était facile ça ne m’intéresserait pas. Mais je me suis un peu spécialisée dans le domaine des personnes décédées – ce qui ne me gratifie nullement et ne m’aide pas plus, je suis juste habituée aux affaires avec des morts... Ce qui ne m’empêche pas de vivre croyez moi.

Quand je suis en recherche sur un dossier spécial … Mes investigations se déroules en 3 temps.

  1. Au démarrage : Le tirage instinctif qui est déjà très révélateur d’une ambiance ou du thème principal.
  2. A suivre : Le déchiffrage de tous les éléments, point par point.
  3. L’élimination : Des intrus… pour ne laisser la place qu’ a l’essentiel.

Ne rien laisser au hasard qui pourrait nous faire défaut, ce n’est pas comme une consultation avec un client, qui lui vous donne son impression lorsque vous lui dévoilez une vérité, qu’il acquiesce, au passage.

Voilà pourquoi de temps en temps j’ose me prononcer sur LE JOURNAL DE DEMAIN.

Bien à vous

Any Kler


Bonjour Marie Thérèse,

Sur le fond je suis assez de votre avis, mais pas sur la forme, vous redéfinissez le rôle du voyant à la source, OK. Concernant l’envoûtement... Là il n’est plus question du voyant façon traditionnelle, mais de ceux qui détournent leur fonction afin de s’enrichir. Pour ceux là, tous les moyens sont bons. Vous parlez de 50% de mauvais, cela ne veut pas dire forcement malhonnête. Vous avez quantifié un % à votre façon de voire les choses. Ces chiffres ne peuvent pas être pris avec fiabilité. J’espère sincèrement que vous vous trompez.
Bien cordialement
ANY KLER

EXTRAITS DE MON PROCHAIN OUVRAGE...

- Raconte-moi ta vie dans l'au- delà... Racontes moi le passage de la vie au chemin lumineux de l’ailleurs… Est-ce que ce fut douloureux, étouffant, tressant laborieux ? Racontes moi la mort, toi qui a connu toutes les étapes ; la naissance de la vie au trépas ! C’est beau là où tu reposes et d’ailleurs est ce que tu te reposes ? Voudrais-tu que je te rejoigne ? Est-ce que tu penses à moi ? Est-ce que tu m'aime toujours ?

Si les morts amoureux nous attiraient dans leur univers, il y aurait une hécatombe de suicides (il y en déjà suffisamment, qui le font et ne sont pas les bienvenus, de l’autre coté).

Que de questions posées lors de séances de communications par diverses méthodes !

Bonjour aux amis du forum LOV

Ce qu’il faut intégrer absolument, c’est que les âmes avec qui l’on échange des contacts, ne peuvent répondre à tous nos questionnements. La loi de la réincarnation n'est pas de mettre fin à sa vie mais juste d'attendre que l'heure arrive un point c'est tout ! Les âmes de nos disparus n'ont pas pour mission de nous emporter avec elles Lorsqu’un contact est établi, c'est pour nous permettre d'attendre et de supporter cette attente, ce silence et ce manque, "au mieux"...


Si notre heure n'est pas décidée par la grande force universelle, nous n'irons rejoindre personne et vivrons notre chemin de chagrin dans l'absence et la reconstruction. Je n’irais pas jusqu’à vous dire que le chagrin est le châtiment de l’amour meurtrie ou de la culpabilité, ou bien d’autre non loin de moi cette idée !

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Il est des jours où les mots doivent nous sortir des entrailles, sinon ils nous étouffent ! Alors comme nous nous devons de rester dans la sobriété des sentiments ... Pas de déballages d'automne .... Posons-nous la bonne question: Avons-nous le droit d'empêcher ceux que nous aimons, de vivre comme ils le désirent, même si le danger est présent et parfois fatal ???
Alors nous serions juste présent pour jouer les moralisateurs qui ne maîtrisent rien et font chier les jeunes. Si notre portrait devient celui de la répression.... Le képi ne m'ira jamais ...
Quand je dois me taire au salon. Je vais hurler au fond du jardin ça me fais un bien fou !
Si pour dormir tranquille nous devons les ligoter ....Entraver à leur liberté d'une façon ou d'une autre ! Cela ne ressemblerait plus à la vie !